Cinéma : Lancement de 'Planète B', un thriller captivant partiellement filmé à Grenoble, décrite par la réalisatrice comme 'une ville futuriste

Le 25 décembre marque une date cruciale avec la sortie de 'Planète B', un thriller captivant porté par la vision audacieuse de la réalisatrice Aude-Léa Rapin. Ce long métrage, qui plonge les spectateurs dans une France dystopique de 2039, explore des thèmes pressants d'écologie et de sécurité, le tout en intégrant le charme unique de Grenoble. Décrit par sa réalisatrice comme une ville futuriste, Grenoble offre une toile de fond saisissante qui enrichit encore plus cette œuvre cinématographique.

Cinéma : Lancement de 'Planète B'

Le 25 décembre dernier, les cinéphiles ont eu l'opportunité de découvrir 'Planète B', un thriller captivant réalisé par Aude-Léa Rapin. Ce long-métrage de science-fiction, mettant en vedette Adèle Exarchopoulos et Souheila Yacoub, plonge les spectateurs dans un univers futuriste inquiétant. En 2039, une France où les écologistes sont traqués par un État répressif s’ouvre devant nous. Julia, l’héroïne interprétée par Exarchopoulos, finit par disparaître et se retrouve piégée dans une réalité totalement nouvelle, baptisée la Planète B.

Grenoble, le décor d'une dystopie

La réalisatrice, Aude-Léa Rapin, a décrit Grenoble comme la toile de fond idéale pour son histoire, mettant en avant l’architecture singulière de la ville. Lors des repérages, elle avoue avoir été immédiatement séduite : “Le film n’aurait pas eu la même intensité si nous n’avions pas pu tourner à Grenoble, place Saint-Bruno, à la Bastille, mais aussi au centre de compostage de Murianette, un vrai décor à la Blade Runner”. Ce choix de localisation semble être en parfaite harmonie avec l’atmosphère sombre et futuriste recherchée.

Une expérience de tournage inoubliable

Le tournage s’est effectué sur une dizaine de jours, avec une collaboration étroite de la municipalité, qui a tout mis en œuvre pour soutenir l'équipe. Rapin a déclaré qu'elle avait ressenti une ambiance particulièrement positive lors du tournage de nuit à Saint-Bruno. La scène filmée au centre de compostage de Murianette a également permis d’inclure le personnel comme figurants dans cette nouvelle réalité narrative. “C’est toujours assez joyeux d’investir de tels lieux, qui, à la base, ne sont du tout prédestinés au cinéma !”, précise-t-elle.

Grenoble, une ville au potentiel cinématographique inexploité

Dans ses échanges, Aude-Léa Rapin a souligné le potentiel cinégénique de Grenoble. “Je ne comprends pas pourquoi on ne la filme pas plus. Elle est entourée de montagnes, c’est très rare en France. Et par ailleurs, en termes d’architecture, c’est comme si Grenoble avait déjà un pied dans le futur”. Elle estime que cette ville, sous l'égide d'un maire écologiste, est d’autant plus pertinente pour aborder des sujets comme la pollution et le réchauffement climatique.

Une avant-première engageante

Le film a été présenté en avant-première à Grenoble, au cinéma Le Club. Aude-Léa Rapin a été ravie de l'accueil : “C’était super, il y avait beaucoup de monde, beaucoup de jeunes qui se sentent concernés par ces problématiques, qui grandissent dans un monde très instable. La science-fiction est aussi un moyen de parler de tout cela”. L’engagement du public est un signe que le message de 'Planète B' résonne avec nos contemporains.

Vers une suite possible ?

Aude-Léa Rapin ne s’arrête pas là. En parallèle de la promotion du film, elle est déjà en train d’écrire un nouveau scénario qui pourrait potentiellement prolonger l'univers de 'Planète B'. Il est fort possible que cette suite soit développée à Grenoble ou dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, réaffirmant ainsi l’importance de ce cadre pour ses récits futuristes.

Pour en savoir plus sur 'Planète B' et suivre son développement, n’hésitez pas à consulter les articles disponibles sur France Bleu et d'autres plateformes dédiées à la culture cinématographique.

Cinéma : Lancement de 'Planète B'

Le 25 décembre, les salles obscures accueillent le lancement de 'Planète B', une œuvre audacieuse de la réalisatrice Aude-Léa Rapin. Ce thriller captivant, interprété par Adèle Exarchopoulos et Souheila Yacoub, plonge les spectateurs dans une France futuriste en 2039, où des activistes écologistes luttent contre un État répressif. Filmé en partie à Grenoble, considéré comme une ville à l'architecture inspirante, ce long métrage nous introduit à une dystopie glaçante et réfléchie.

Une vision futuriste de Grenoble

Lors des repérages pour le film, Aude-Léa Rapin a eu un véritable coup de cœur pour Grenoble. Dans ses mots, "le film n'aurait pas eu la même intensité si nous n'avions pas tourné à Grenoble". L’architecture de la ville, que l’on pourrait qualifier d’anticipation, a été illustrée à travers des lieux emblématiques comme la place Saint-Bruno et le centre de compostage de Murianette, apportant une atmosphère authentique et immersive au récit qui se déroule en 2039.

Un tournage imprégné de réalité

Le tournage à Grenoble ne s'est pas limité à de simples paysages. Les scènes dans le centre de compostage impliquaient la participation du personnel en tant que figurants, créant une ambiance de communauté. Aude-Léa Rapin souligne que "il est toujours réjouissant d'investir des lieux qui ne sont pas traditionnellement associés au cinéma". Cette approche a permis à l’équipe de ressentir intensément la réalité de ce futur dystopique qu’elle avait imaginé.

Des thèmes d'actualité

Ce thriller ne se contente pas d'être un simple divertissement. En abordant la thématique de l'écologie, de la pollution et du réchauffement climatique, Planète B résonne fortement avec les préoccupations contemporaines, d’autant plus que Grenoble, sous la direction d'une municipalité écoresponsable, s'engage à faire face à ces enjeux. La réalisatrice déclare, "le film parle aussi des problématiques environnementales qui nous touchent tous".

Un accueil enthousiaste

Lors de l’avant-première à Grenoble, l’atmosphère était électrique. Aude-Léa Rapin a mentionné "qu'il y avait beaucoup de jeunes concernés par ces problèmes qui grandissent dans un monde instable". Ce film œuvre ainsi en tant que reflet des inquiétudes d'une génération, faisant de la science-fiction un outil engageant pour discuter des thèmes de société.

Un avenir prometteur

Aude-Léa Rapin, déjà plongée dans l’écriture de son prochain scénario, envisage une potentielle suite à Planète B, qui pourrait également voir le jour à Grenoble ou aux alentours. Le film, en se fixant comme toile de fond une ville riche en promesses architecturales et sociales, est un appel à l'imagination et à l'action, propulsant son public à réfléchir sur l’avenir.

Ne manquez pas la bande-annonce

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À retenir sur 'Planète B'

• Date de sortie : 25 décembre 2024
• Genre : Thriller de science-fiction

• Réalisatrice : Aude-Léa Rapin
• Actrices principales : Adèle Exarchopoulos, Souheila Yacoub

• Cadre temporel : France en 2039
• Thème central : Activisme écologique face à un État sécuritaire

• Lieu de tournage : Grenoble
• Caractéristique de Grenoble : Ville futuriste et inspirante

• Scènes clés : Place Saint-Bruno, Bastille, centre de compostage de Murianette
• Engagement environnemental : Écologie, pollution et réchauffement climatique

Lancement de 'Planète B' : Un thriller captivant

Le 25 décembre marque la sortie très attendue de Planète B, réalisé par Aude-Léa Rapin. This thriller de science-fiction, avec en tête d’affiche Adèle Exarchopoulos et Souheila Yacoub, nous plonge dans un futur inquiétant où la lutte pour l'écologie se heurte aux réalités d'un État autoritaire. Localisé à Grenoble, ce film explore les thèmes de la disparition et de la quête de liberté, le tout dans un décor où l’architecture urbaine rencontre une dystopie palpable. C'est une invitation à réfléchir sur les enjeux contemporains à travers le prisme du cinéma.

Une vision futuriste de Grenoble

À travers ses choix de décors, Aude-Léa Rapin aborde la ville de Grenoble comme un personnage à part entière. Lors des repérages, elle a été charmée par son architecture unique, qui se marie à la perfection avec l’anticipation du siècle à venir. Cette ville, enserrée de montagnes, apporte une esthétique visuelle singulière au film, permettant de toucher à la fois à la beauté et à la mélancolie d’un monde en pleine mutation. En travaillant principalement sur des lieux emblématiques tels que la Bastille ou la place Saint-Bruno, le film réussit à capturer l’essence d’une France en évolution.

Un décor de sci-fi authentique

Ce choix de tourner dans un cadre réel, garni de véritables lieux de vie, défie des standards de production habituels. L’un des lieux marquants, le centre de compostage de Murianette, fonctionne comme une métaphore de la renaissance au sein de ce futur troublé. Rapin souligne que ces décors inattendus apportent une dimension réelle au récit : « C'est toujours assez joyeux d'investir de tels lieux, qui ne sont pas du tout prédestinés au cinéma ». Ce contraste renforce l'intensité et l’immersion du spectateur dans cette lutte pour la survie et l'environnement.

Résonance avec les enjeux actuels

Au-delà de la fiction, Planète B soulève des questions brûlantes en matière d'écologie et de sécurité. Avec un État totalitaire qui surveille ses citoyens, le film met en lumière des peurs contemporaines. L’héroïne, Julia, interprétée par Adèle Exarchopoulos, se retrouve piégée dans un système où ses droits sont bafoués. Ce récit captivant permet au public d’affronter des problématiques qui résonnent dans la société actuelle, telles que le réchauffement climatique et la nécessité d’agir pour la planète.

Une première à Grenoble

La première du film à Grenoble a rassemblé un public nombreux, surtout des jeunes, témoignant d'un intérêt grandissant pour ces questionnements sociétaux à travers le prisme de la science-fiction. Rapin affirme que la science-fiction est un fantastic moyen d'aborder des thèmes difficiles, tout en offrant au spectateur une échappatoire dans un monde imaginé. Ce mélange de réel et de fictif offre aux spectateurs une opportunité de réfléchir à leur propre place dans une réalité en constante évolution.

Perspectives futures

Alors que Aude-Léa Rapin se penche déjà sur l'écriture de nouveaux projets, la possibilité d’une suite à Planète B flotte dans l’air. Ce projet pourrait une fois de plus s'ancrer à Grenoble ou dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, continuant ainsi de traverser les points de vue artistiques et sociétaux à travers le prisme du cinéma. Une occasion de maintenir la conversation autour des thèmes abordés dans ce film poignant et d'enrichir encore davantage le paysage cinématographique français.

FAQ sur 'Planète B'

Q : De quoi parle le film 'Planète B' ? Le film 'Planète B' est un thriller de science-fiction qui se déroule dans un futur proche, où des activistes écologistes disparaissent dans un monde contrôlé par un État sécuritaire. L'histoire suit Julia, interprétée par Adèle Exarchopoulos, alors qu'elle tente de s'échapper d'une prison mystérieuse.

Q : Qui est la réalisatrice de 'Planète B' ? 'Planète B' est réalisé par Aude-Léa Rapin, qui a voulu créer une dystopie réfléchissant sur les enjeux contemporains tels que l'écologie et les libertés individuelles.

Q : Pourquoi Grenoble a-t-elle été choisie comme décor principal ? La réalisatrice a été séduite par l'architecture unique et la configuration géographique de Grenoble, qu'elle considère comme une ville cinégénique idéale pour le film, représentant la France de 2039.

Q : Quels sont les thèmes principaux abordés dans le film ? 'Planète B' aborde des thèmes tels que l'écologie, la pollution et les conséquences du réchauffement climatique, en intégrant ces problématiques dans son récit futuriste.

Q : Y a-t-il des chances pour qu'il y ait une suite à 'Planète B' ? Oui, Aude-Léa Rapin envisage déjà la possibilité d'une suite, potentiellement située à nouveau à Grenoble ou dans d'autres zones de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Q : Quand le film 'Planète B' a-t-il été lancé ? 'Planète B' a été lancé dans les salles le 25 décembre, attirant déjà l'attention avec ses premières projections à Grenoble.