Carmaux : Neuf films à découvrir au Festival du Cinéma Social et Ouvrier

découvrez les neuf films captivants sélectionnés pour le festival du cinéma social et ouvrier à carmaux. plongez dans des récits émouvants qui mettent en lumière les luttes et les espoirs du monde du travail.

EN BREF

  • Neuf films Ă  l'affiche lors du festival
  • Ouverture en fanfares avec des projections variĂ©es
  • Première projection Ă  10 h 45 : "Matria", film espagnol
  • Ă€ 14 heures, "Petites mains" avec Corinne Masiero et "Biquefarre"
  • Retour sur le village de Goutrens, en Aveyron
  • Ă€ 16 heures, "MisĂ©ricorde" et avant-première de "La jeune femme Ă  l’aiguille"
  • CinĂ©ma engagĂ© avec "Dissidente" et "Au boulot" Ă  18 h 15
  • Deux documentaires en avant-première Ă  20 h 30 : "La voix de garage" et "Cher bassin"
  • DĂ©bats avec rĂ©alisateurs après les projections

Le Festival du Cinéma Social et Ouvrier à Carmaux s'annonce comme un véritable rendez-vous culturel, promettant une journée riche en émotions et réflexions. Ce vendredi, les cinéphiles auront l'opportunité de découvrir pas moins de neuf films, dont trois en avant-première, abordant avec profondeur et sensibilité des thématiques liées au travail et à la vie quotidienne des ouvriers. De documentaires captivants aux fictions poignantes, chaque projection invite à une immersion dans des récits authentiques qui font écho aux réalités sociales contemporaines.

découvrez neuf films captivants qui mettent en lumière la condition ouvrière et les enjeux sociaux lors du festival du cinéma social et ouvrier à carmaux. un événement à ne pas manquer pour les passionnés de cinéma engagé.

Le Festival du Cinéma Social et Ouvrier à Carmaux a ouvert ses portes avec une programmation riche et variée, offrant aux cinéphiles l'occasion de plonger dans des récits poignants et engagés. Ce vendredi, neuf films, dont trois en avant-première, permettent d'explorer des thématiques sociales et issues du monde ouvrier à travers des histoires touchantes et des documentaires révélateurs. Ce festival est une célébration du cinéma engagé, reflétant les luttes et les réalités du monde du travail.

Une journée prometteuse de projections

La journée se prélude à 10 h 45 avec le film "Matria", une œuvre espagnole qui, par son regard unique, met en lumière des réalités contemporaines. À 14 h, l’affiche se complétera avec "Petites mains", mettant en vedette la talentueuse Corinne Masiero, suivie d'un grand classique : "Biquefarre", réalisé en 1983 par Georges Rouquier.

Retour aux sources avec "Biquefarre"

Près de 38 ans après le succès de son film Farrebique, Georges Rouquier nous transporte de nouveau dans le village de Goutrens, en Aveyron. Ce retour sur le lieu de tournage raconte l’histoire de Raoul Pradal, un agriculteur, qui prend la décision délicate de vendre sa ferme et de quitter la campagne pour la ville. Les enjeux de cette vente, conjugués aux aspirations des différents membres de la communauté, sont au cœur du film. À accompagner de l'exposition "Biquefarre 40 ans", proposée par l’association Georges Rouquier, cette projection promet d’être une immersion nostalgique.

Exploration du monde rural avec "Miséricorde"

À 16 h, les spectateurs découvriront "Miséricorde", une œuvre du réalisateur aveyronnais Alain Guiraudie. En brossant un portrait sensible du monde rural, ce film continue de dépeindre la complexité des relations humaines au sein de ce milieu souvent méconnu.

Avant-premières à ne pas manquer

En simultané, le festival présente en avant-première "La jeune femme à l’aiguille", un film intrigant de Magnus von Horn. La richesse des récits abordés trouve une résonance particulière, mettant en avant des questions de genre et de condition féminine dans un univers souvent peu exploré.

Thématiques sociales avec "Dissidente" et "Au boulot"

Un autre moment fort de la journée est réservé à "Dissidente", une œuvre poignante qui expose les conditions de travail déplorables des ouvriers guatémaltèques dans une usine québécoise, tout en suivant Ariane, une femme prête à lutter contre cette exploitation. À 18 h 15, le duo Gilles Perret et François Ruffin revient avec "Au boulot", une comédie documentaire qui combine rires et émotions, honorant les travailleurs qui soutiennent notre société.

Documentaires au programme de la soirée

Après la pause dîner, à 20 h 30, deux documentaires promettent d’animer les esprits. Le premier, "La voix de garage" de Pierre-Loup Rajot, suit Muriel, une mécanicienne et patronne d'un garage familial en Seine-Saint-Denis, dont la voix résonne comme celle d'une génération de femmes dans des métiers souvent stéréotypés. Le second film, "Cher bassin" de Matthieu Kiefer, s'intéresse aux séquelles laissées par la mine, traitant des destins croisés des habitants de Decazeville.

Ces projections seront suivies par des débats enrichissants avec les réalisateurs, offrant l'opportunité d'approfondir ces thématiques fortes.

Pour plus d'informations sur cette étonnante programmation, consultez les liens suivants : Clap Ciné de Carmaux, Festival du Cinéma Social et Ouvrier, Retour sur le film controversé et Les acteurs de doublage et l'intelligence artificielle.

Les Films Ă  l'affiche

FilmThématique
MatriaExploration des relations familiales en milieu rural
Petites mainsVie quotidienne des ouvriers
BiquefarreÉvolution du monde rural et défis contemporains
MiséricordeCritique des conditions de vie dans le rural
La jeune femme à l’aiguilleRécit d'une lutte contre l'exploitation
DissidenteConditions de travail en usine et résistance
Au boulotPortraits de ceux qui font tourner le pays
La voix de garageEmpowerment féminin dans un milieu masculin
Cher bassinImpact historique de la mine sur une communauté
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Le Festival du Cinéma Social et Ouvrier de Carmaux s’est ouvert en fanfare, promettant une journée riche en émotions et en découvertes cinématographiques. Avec un programme varié comprenant neuf films, dont trois en avant-première, les cinéphiles ont de quoi se réjouir et explorer des thématiques sociales vitales. Ce vendredi, chaque projection sera une occasion de réfléchir, rire ou même pleurer devant la réalité de notre monde, le tout sous le charme de la toile.

Une journée qui débute en beauté

La matinée commence dès 10 h 45 avec “Matria”, un film espagnol à voir en version originale sous-titrée. Cette première projection pose le ton d’une journée qui s’annonce engagée. À 14 heures, les spectateurs pourront apprécier “Petites mains”, un film mettant en vedette Corinne Masiero. Ce long-métrage est parfait pour plonger au cœur des réalités du travail manuel.

Retour aux racines avec “Biquefarre”

À 14 heures, un temps fort du festival sera la projection du très attendu “Biquefarre”, un film emblématique réalisé par Georges Rouquier en 1983. Ce document, qui vise à approfondir les enjeux ruraux, nous ramène dans le petit village de Goutrens, en Aveyron. Dans ce contexte, le fermier Raoul Pradal se débat entre tradition et modernité, alors qu'il se décide à vendre son exploitation familiale. Ce film est enrichi d'une exposition dédiée “Biquefarre 40 ans” dans le hall du cinéma, promise à captiver les amateurs de récits documentaires.

Des récits poignants sur le monde rural

À 16 heures, “Miséricorde”, l'œuvre du réalisateur aveyronnais Alain Guiraudie, prendra place à l'écran, offrant un regard sensible sur la vie rurale contemporaine. Simultanément, les chanceux pourront découvrir en avant-première “La jeune femme à l’aiguille”, de Magnus von Horn, un récit poignant qui questionne la place des femmes dans un monde en mutation.

Des luttes contemporaines avec “Dissidente” et “Au boulot”

Le festival n'oublie pas les thématiques sociales pressantes. À 18 h 15, “Dissidente” aborde les conditions de travail déplorables des ouvriers guatémaltèques dans une usine québécoise, mettant en lumière la résistance d'Ariane face à l'exploitation. À la même heure, les co-réalisateurs Gilles Perret et François Ruffin reviennent avec “Au boulot”, une comédie documentaire qui rend hommage à ceux qui font marcher le pays au quotidien.

Documentaires inspirants pour conclure la soirée

La soirée se clôturera avec deux documentaires en avant-première à 20 h 30. “La voix de garage”, de Pierre-Loup Rajot, raconte l'histoire de Muriel, une mécanicienne qui gère un garage familial en Seine-Saint-Denis. Ensuite, “Cher bassin”, de Matthieu Kiefer, nous plonge dans l'héritage d'un passé minier à Decazeville, où la solidarité des habitants a façonné un destin collectif. Ces projections seront suivies de débats enrichissants avec les réalisateurs.

Le Festival du Cinéma Social et Ouvrier de Carmaux est sans conteste un événement à ne pas rater pour tous ceux qui s'intéressent aux questions sociales à travers le prisme du cinéma. Des films engageants, des discussions passionnantes, tout est réuni pour une journée mémorable.

  • Matria - Film espagnol en VOST
  • Petites mains - Avec Corinne Masiero
  • Biquefarre - Suite de Farrebique par Georges Rouquier
  • MisĂ©ricorde - RĂ©alisĂ© par Alain Guiraudie
  • La jeune femme Ă  l’aiguille - Avant-première de Magnus von Horn
  • Dissidente - Conditions de travail au Guatemala
  • Au boulot - ComĂ©die documentaire sur les travailleurs
  • La voix de garage - Portrait d'une mĂ©canicienne en Seine-Saint-Denis
  • Cher bassin - Documentaire sur l'histoire minière de Decazeville
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Le Festival du Cinéma Social et Ouvrier à Carmaux

Après l'ouverture éclatante d'hier soir, le Festival du Cinéma Social et Ouvrier à Carmaux se poursuivra avec une journée riche en émotions et en découvertes. Ce vendredi, les cinéphiles auront l'occasion de se plonger dans l'univers de neuf films captivants, dont trois en avant-première. Ce festival se positionne comme un lieu de rencontre essentiel pour explorer des thématiques sociales et ouvrières à travers le cinéma. Voici un aperçu de ce que vous pourrez découvrir aujourd'hui.

Une programmation variée

Des films poignants sur le monde rural

La journée débutera à 10 h 45 avec "Matria", un film espagnol en Version Originale Sous-titrée. Ce long-métrage promet d'éveiller les consciences sur les luttes féminines et les défis rencontrés. Puis, à 14 heures, "Petites mains", mettant en vedette la talentueuse Corinne Masiero, amènera les spectateurs dans un voyage émotionnel au cœur des réalités du travail artisanal.

Pour les amateurs de cinema d'auteur, il ne faudra surtout pas manquer "Biquefarre", réalisé par le grand Georges Rouquier. Près de 38 ans après son premier film, ce réalisateur revient avec une suite touchante qui explore les transformations du monde rural. Situé dans le petit village de Goutrens, le film examine le dilemme d’un agriculteur qui choisit de vendre son domaine au profit de la ville, entraînant une réflexion sur l'érosion des traditions. Accompagné d'une exposition intitulée "Biquefarre 40 ans", ce film offre une expérience immersive unique.

Plongée dans des thématiques contemporaines

A 16 heures, le film "Miséricorde" du réalisateur aveyronnais Alain Guiraudie abordera la vie des acteurs des zones rurales avec sensibilité et authenticité. Au même moment, les spectateurs auront l'opportunité d'assister à l'avant-première de "La jeune femme à l’aiguille" de Magnus von Horn, qui met en lumière les défis modernes face à la société.

Des récits de lutte et de résistance

À 18 h 15, le film "Dissidente" sera projeté, mettant en lumière les conditions de travail dégradantes imposées aux ouvriers guatémaltèques au sein d'une usine au Québec. Ce documentaire offre un regard poignant sur la résistance d'Ariane, qui lutte contre cette exploitation. À la même heure, "Au boulot" de Gilles Perret et François Ruffin propose un mélange de rires et de larmes, célébrant les héros du quotidien qui soutiennent le pays. Ce film est incontournable pour quiconque s'intéresse aux luttes contemporaines des travailleurs.

Documentaires au cœur de la vie ouvrière

Après une pause dîner, deux nouveaux documentaires seront à l’affiche à 20 h 30. "La voix de garage" de Pierre-Loup Rajot présente Muriel, une mécanicienne et patronne de garage en Seine-Saint-Denis, dont l'histoire offre une voix forte et inspirante au milieu des défis. Le second film, "Cher bassin" de Matthieu Kiefer, raconte l'histoire des habitants de Decazeville où la mine a joué un rôle central dans leur vie. Ces deux films seront suivis d’un débat avec les réalisateurs, permettant d'approfondir les sujets abordés.

Un festival qui fait réfléchir

Le Festival du Cinéma Social et Ouvrier à Carmaux est bien plus qu'un simple événement de projection. Il offre une plateforme pour explorer les histoires souvent méconnues des ouvriers et des communautés. Chaque film a le potentiel de susciter des réflexions, d’engendrer des discussions et de tisser des liens entre les spectateurs. Ne manquez pas cette opportunité de plonger dans des récits puissants et engagés qui éclairent notre société actuelle.

FAQ - Festival du Cinéma Social et Ouvrier à Carmaux

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